"Les écrans" c'est pas ce qu'ils vendent, c'est des services spécifiques. Les écrans c'est un medium et j'en ai marre que les gens qui ont peur de s'en emparer fassent croire qu'on ne peux que y regarder des vidéos tiktok et des influenceurs mascus.
Sinon, des gens qui étudient depuis des années les méthodes pédagogiques pour faire entrer lézécran intelligemment dans le cursus scolaire, travaillant avec chercheurs et enseignants, financés par des fonds publics et sans lobbying des GAFAM (que pour les connaitre, ils et elles ne portent pas dans leur coeur), y a le Centre Erasme et de nombreux libristes gouvernementaux à qui on ne donne pas assez la parole et qu'on insulte chaque fois qu'on prétend que le numérique passe forcément par des boites américaines aux designs toxiques.
Séverine Erhel a elle-même participé à l’un de ces projets, d’environ 3 millions d’euros, financé pour moitié par des subventions publiques et pour moitié par la start-up.
Alors je suis d'accord qu'il y a un problème, mais si vous connaissez un peu les mécanismes publics de financement par lesquels on demande à plein de chercheurs d'utiliser, la plupart imposent un partenariat public-privé. Les chercheurs s'en passeraient volontiers, mais dans ce cas il n'y aurait pas de recherche dans le domaine. L'état propose souvent de subventionner un projet uniquement si un montant égal est investi par une entreprise.
Bien sur que ça facilite le lobbying, mais en soit ça ne suffit pas à prouver la malhonnêteté des gens impliqués.