TheFrirish

joined 1 year ago
[–] TheFrirish@jlai.lu 2 points 3 days ago

ouin ouin ouin

[–] TheFrirish@jlai.lu 3 points 2 weeks ago

Gg le type en plus les cryptos vont pump maintenant

[–] TheFrirish@jlai.lu 3 points 2 weeks ago* (last edited 2 weeks ago)

Tu es soumerd_retardataire

Le pire c'est ça aurait plus de sens comme ça.

Mais je n'ai pas la force d'écrire autant ni même de lire toutes ces anneries.

[–] TheFrirish@jlai.lu 3 points 2 weeks ago* (last edited 2 weeks ago) (1 children)

J'y ai pensé et j'ai failli le mettre dans mon commentaire

[–] TheFrirish@jlai.lu 5 points 2 weeks ago (22 children)

Théorie du complot :

Soumerde est venu mettre la pagaille pour être sûr que la défédération se produise.

[–] TheFrirish@jlai.lu 4 points 2 weeks ago

Oui mais ya un risque de perdre 30 million aussi avec 10 000€ par jour t'es pépère quand même.

Folie des grandeurs c'est sur qu'avec ma mentalité je vais pas les atteindre les 30 millions déjà.

[–] TheFrirish@jlai.lu 2 points 2 weeks ago

ah oui effectivement merci pour la clarification

[–] TheFrirish@jlai.lu 1 points 2 weeks ago* (last edited 2 weeks ago) (2 children)

pourquoi on voit encore les posts c'est pas la même chose que défédérer non ?

[–] TheFrirish@jlai.lu 3 points 2 weeks ago (6 children)

Le mec mise 30 000 000 $ en pari crypto risqué alors qu'il pourrait faire du staking pour toucher une rente journalière plutôt safe.

le gars pourrait toucher 13 150$ par jour sur polkadot avec cette somme. j'ai calculé avec 16% de moyenne sur polkadot mais le rendement est supérieur 22% maintenant pour moi

 

Trop tôt ?

 

L'année dernière le sujet a été abordés par @AlexisFR@jlai.lu et je souhaite relancé l'idée de dé-fédérer de cette instance.

Je navigue depuis quelque temps sans bloquer la moindre instances question de simuler un peu l'expérience de quelqu'un qui rejoint le fediverse via l'instance jlai.lu.

Les posts qui apparaissent dans le fil et le comportement de la plupart des usagers de cette instance pollue tout simplement l'expérience Lemmy.

Même sans parler de possible liens avec CCP, Kremlin etc... je pense que, à mon humble avis, leur comportement et leur façons de brigader et de diffamer une opinion qui ne diverge que d'à peine d'un poil de leur courant de penser, va sincèrement à l'encontre de l'état d'esprit de notre communauté sur cette instance.

Je me suis opposé sans vraiment me prononcer l'année dernière à une dé-fédération (étant donné qu'ils ne sont pas francophone et que j'aime bien le drama inter-instances de temps temps) mais leurs prises de positions en permanence ahurissantes et (en pesant mes mots au maximum) d'une flagrante dissonance cognitive je dois dire que trop c'est trop.

Je pense sincèrement que malgré le fait nos intéractions soit assez minimes avec cette instance je pense que sur le long terme leur influence est nocive et que, dans l'idée de garder une certaines sérénité pour les personnes et futures personnes qui utiliseront cette instance, qu'il y ai une dé-fédération de cette instance de la notre.

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submitted 6 months ago* (last edited 1 month ago) by TheFrirish@jlai.lu to c/france@jlai.lu
 

Êtres errants de lemmy, je suis curieux de savoir quel est votre forfait mobile et comment vous évaluez votre expérience avec votre opérateur.

Pour ma part, je suis client chez Telecoop. Mon choix n'a pas été guidé principalement par les détails du forfait (bien que je commence à être frustré par le faible volume de données disponibles). Actuellement, mon abonnement est de 10€ par mois pour 100 Mo, avec un supplément de 2€ par Go. Comme je passe beaucoup de temps à l'étranger, j'en avais assez des opérateurs traditionnels qui ajoutent sans cesse des options supplémentaires, me forçant à surveiller constamment ma facture pour éviter les surcharges. Heureusement, avec le statut de société coopérative de Telecoop, je n'ai pas besoin de me préoccuper de modifications inattendues de mon forfait.

Je pense peut-être à changer de forfait ou même à passer à une formule prépayée, étant donné que ma consommation de données mobiles hors wifi est très faible.

Auriez-vous des recommandations à me faire ?

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Railcoop jette l'éponge (france3-regions.francetvinfo.fr)
 

Terminus pour Railcoop et "fin d'une belle aventure collective" : la liquidation judiciaire de la coopérative ferroviaire est inévitable.

La coopérative Railcoop, basée à Figeac dans le Lot, va certainement dire adieu à son rêve de relancer la ligne de train directe entre Bordeaux et Lyon. Dans un communiqué à ses sociétaires, elle annonce sa liquidation judiciaire comme inévitable.

Depuis l'été 2023, Railcoop n'a eu de cesse d'appeler à l'aide ses sociétaires et soutiens pour trouver du financement. "Pour 100 euros, tu peux acheter un train !" était devenu le slogan de la coopérative ferroviaire du Lot. Mais ce mercredi 27 mars 2024 sonne comme un coup d'arrêt. Dans un communiqué adressé à ses sociétaires, Railcoop  annonce sa liquidation judiciaire comme étant inévitable.

Le schéma prévu pour sortir du redressement judiciaire est désormais caduc. En l'état, le tribunal de commerce de Cahors ne devrait pas avoir d'autre choix que de prononcer, le 15 avril 2024, la liquidation de notre coopérative*", a indiqué Railcoop à ses sociétaires, ce mercredi 27 mars 2024.

Placée en redressement judiciaire à la mi-octobre, la coopérative disposait d'un délai de six mois pour trouver des capitaux et poursuivre son activité. Elle avait notamment prévu de céder deux rames stockées par une société spécialisée dans la restauration de matériels ferroviaires. Sauf que celle-ci "*nous réclamait 880.000 euros de frais de garage, en sus des 350.000 euros déjà payés pour la réalisation de l'audit des rames (qui n'a pas été terminé)", a affirmé Railcoop.

Le 21 mars dernier, le tribunal de commerce de Clermont-Ferrand a donné raison à l'entreprise en question. "Par cette décision, le tribunal nous empêche de procéder à la vente des deux rames (qui était signée), nous coupe toute source de financement de court terme, et nous fait porter une nouvelle dette insoutenable", indique Railcoop.

Cette décision de justice, qualifiée d'incompréhensible, scelle le sort de Railcoop, affirme encore la coopérative à ses sociétaires. Le message adressé se termine ainsi : "c'est avec le plus grand regret que nous vous adressons ce message, après des mois passés ensemble à se battre, pour éviter la fin de notre belle aventure collective."

Née en 2019, Railcoop s'était fixé comme objectif de lancer une liaison ferroviaire transversale entre Bordeaux et Lyon via Périgueux, Limoges, Montluçon et Roanne. La coopérative rêvait de lancer son premier train citoyen initialement à l'été 2022. Mais son lancement avait été maintes fois repoussé.

En avril 2023, son activité de fret, déficitaire, entre Viviez-Decazeville (Aveyron) et Saint-Jory (Haute-Garonne). Les discussions avec des institutions régionales pour garantir des emprunts obligataires avaient tourné court.

Depuis son siège de Figeac dans le Lot, Railcoop voyait grand. La coopérative avait identifié plusieurs lignes en France pour développer son offre, comme celle reliant Toulouse à Saint-Brieuc. Terminus, le rêve tourne court.

 

Ma quête pour privilégier uniquement les logiciels libres ressemble vraiment à une bataille difficile contre de grandes entreprises. Le logiciel libre incarne des principes tels que la transparence, la communauté et la liberté, mais le monde technologique est dominé par de grandes sociétés qui privilégient souvent les systèmes propriétaires. Cela peut certainement donner l'impression de mener une bataille difficile, surtout lorsque l'on cherche des alternatives libres qui correspondent à la commodité et à la fonctionnalité des options propriétaires dominantes.

L'un des plus grands défis est de trouver des logiciels libres qui peuvent remplacer de manière transparente chaque logiciel propriétaire que j'utilise, en particulier pour des tâches de niche ou hautement spécialisées. Heuresement la communauté du logiciel libre est dynamique et ne cesse de croître, avec des solutions et des systèmes de soutien qui évoluent au fil du temps.

C'est également un chemin qui vient avec ses récompenses. Je contribue à une culture de partage et de collaboration (notamment openstreetmaps et organicmaps), j'ai l'opportunité d'apprendre et de modifier le logiciel que j'utilise, et je fais partie d'une communauté qui valorise la liberté de l'utilisateur et le contrôle sur le logiciel qu'ils utilisent.

Rappelez-vous, chaque contribution à l'écosystème du logiciel libre, peu importe combien elle peut sembler petite, aide à rendre la technologie plus accessible et personnalisable pour tous. Que ce soit en utilisant des logiciels libres, en signalant des bogues, en contribuant à la documentation ou en faisant des dons, chaque geste compte dans la lutte contre la dominance du logiciel propriétaire, géré par des entreprises. Comment a été votre expérience jusqu'à présent dans cette quête et quels sont vos projets favoris ?

 

Alors que les Français vivent de plus en plus âgés, et avec des pathologies multiples, seul un tiers des malades qui en auraient besoin a accès aux soins palliatifs.

Emmanuel Macron a finalement présenté son projet de loi sur l’aide à mourir, attendu depuis plusieurs mois. Dans un entretien publié, dimanche 10 mars, par Libération et La Croix, le chef de l’Etat détaille les modalités qui encadreront médicalement cette démarche. Le texte devrait être examiné le 27 mai par les députés.Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

La présentation d’un autre volet du projet de loi, concernant « l’accompagnement », c’est-à-dire les soins palliatifs et la prise en charge de la douleur, initialement prévue en janvier, a été repoussée à la fin mars. En attendant la publication de cette stratégie décennale, assortie de crédits supplémentaires, une circulaire ministérielle visant à mieux structurer ces soins avait été publiée en juin 2023 par le ministère de la santé.Le chantier des soins palliatifs est urgent.

La France, confrontée à un vieillissement de sa population, n’est toujours « pas à la hauteur des enjeux », avait souligné la convention citoyenne sur la fin de vie. Seuls 30 % des patients qui en auraient besoin ont accès à des soins palliatifs en France, selon la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). En cause : une répartition inégale des structures spécialisées sur le territoire, des soignants trop peu nombreux, et une culture palliative encore mal perçue au sein de la société et du corps médical.

Une offre étoffée au fil des années

L’offre en soins palliatifs a doublé au cours des vingt dernières années, notamment sous l’impulsion des plans nationaux lancés depuis 1999. A la fin de l’année 2021, on dénombrait 7 546 lits dévolus aux soins palliatifs à l’hôpital (11,1 lits pour 100 000 habitants), contre 4 012 lits en 2007.

Les trois quarts de ces lits (5 566) sont situés au sein des services hospitaliers confrontés à la fin de vie. On les appelle les « lits identifiés de soins palliatifs » (LISP) ; ils sont situés dans des services hospitaliers d’oncologie, gériatrie, cardiologie, etc., dont l’activité n’est pas exclusivement liée aux soins palliatifs.

Les autres lits sont rattachés à des « unités de soins palliatifs » (USP), des structures de référence qui accueillent les malades dont l’état de santé est complexe et nécessite une approche hospitalière spécialisée. Le nombre de ces structures spécialisées a quasiment doublé, lui aussi, entre 2006 et 2021.Enfin, le nombre d’« équipes mobiles de soins palliatifs » (EMSP) a augmenté de 20 % en vingt ans, passant de 350 en 2007 à 420 en 2021.

Réunissant différentes catégories de professionnels (médecin, infirmier, psychologue, etc.), elles épaulent les équipes soignantes d’un ou plusieurs établissements, pour proposer un accompagnement du patient en fin de vie. Elles peuvent également se déplacer à domicile, à son chevet.

Des disparités territoriales persistantes

Si la situation s’est améliorée depuis le début des années 2000, « l’élan porté doit être nuancé », soulignait en 2021 un rapport du Sénat, qui faisait écho aux conclusions de l’inspection générale des affaires sociales. Cette dernière notait en effet en 2019 « un essoufflement de la dynamique des quatre premiers plans et la permanence de nombreuses questions de fond complexes, liées notamment à l’environnement du système de santé ». Et de constater qu’il n’existe « toujours pas un maillage territorial juste et équitable ».

L’offre en soins palliatifs souffre en effet d’une répartition inégale en France. Si la majorité des départements disposent d’unités spécialisées dans la prise en charge palliative, vingt et un d’entre eux (Ardennes, Cher, Corrèze, Creuse, Eure-et-Loir, Gers, Indre, Jura, Lot, Lozère, Haute-Marne, Mayenne, Meuse, Orne, Pyrénées-Orientales, Haute-Saône, Sarthe, Tarn-et-Garonne, Vosges, Guyane, Mayotte) en sont encore dépourvus.

« C’est largement insuffisant », regrette Ségolène Perruchio, cheffe de service de soins palliatifs du centre hospitalier Rives-de-Seine à Puteaux (Hauts-de-Seine). « Si vous êtes en fin de vie, ni vous ni vos proches ne peuvent se permettre de faire trois heures de route pour aller à l’unité du département d’à côté », souligne la docteure Perruchio. Cette absence de structures de pointe est d’autant plus préjudiciable que, parmi les départements dépourvus, des territoires comme le Cher, l’Indre ou l’Eure-et-Loir sont affectés par la désertification médicale.

La répartition des lits identifiés en soins palliatifs au sein des services des hôpitaux (les LISP) est également inégale. En moyenne, la France est dotée de 8,2 lits pour 100 000 habitants. Mais vingt-sept départements disposent seulement de 6,5 lits en moyenne. Les territoires ultramarins, comme la Martinique, La Réunion, ou la Guyane, font partie des plus mal lotis, avec deux fois moins de lits encore (moins de 3,5 pour 100 000 habitants), tandis que Mayotte n’en possède aucun.

 

Bonjour tout le monde,

Je souhaite partager mon opinion à propos de la situation actuelle de notre fédération aux autres instances. Je suis d'accord avec la décision de ne plus être fédérés avec les instances pornographique (on évite pas mal d'incidents en publics comme ça).

Le plus important c'est que l'on soit fédérés à toutes les autres instances. J'adore le fait qu'on soit capable de voir des posts de beehaw.org et que l'on puisse échanger avec eux. J'adore pouvoir voir les posts de scènes de ménages entre lemmy.ml et lemmy.world. j'éspère que l'on va pouvoir continuer à observer tout ça depuis notre petite instance et j'invite tout le monde à être conscient sur des règles et des utilisateurs sur les instances sur lesquels ils postes de manière à éviter d'enfreindre certaines règles d'instances. Je ne parle pas de censures mais je fais juste un rappel. la situation actuelle de notre instance est plutôt bonne et j'éspère que l'on pourra la garder un maximum de temps dans cette situation.

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